Ce n'est pas sur ce qu'elle écrit en 1673 à son amie Madame de Sévigné que nous devons nous fonder pour mesurer la romancière à l'aune de l'épistolière.
Sa correspondance, précieuse pour connaître certains aspects de sa vie, n'a pas la grâce de ses écrits romanesques ; et cette femme, qui se dit lasse d'écrire, publiera quelques années plus tard, en 1678, le chef-d'oeuvre littéraire que l'on sait, accueilli en son temps avec remous et controverses : 'La Princesse de Clèves'. A un détail près : le roman ne sera pas signé, elle n'en avouera être l'auteur qu'en 1691.