Guillaume Gallienne lit ce témoignage du personnage du roman de Philip Roth comme un cri désespéré pour la tolérance. Écrit sous la forme d’un long monologue, tour à tour cynique ou tendre, et toujours plein d’humour, ce roman de la quête de soi passe par la conquête de la parole. A 33 ans, Alexander Portnoy, devenu un brillant avocat, entreprend une psychanalyse et livre ses souvenirs les plus cocasses. Découvrons ce flot de paroles débordant de libido… Ce « marathon oratoire », cette « ivresse des mots », a nourri l’un des best-sellers et des grands scandales de la littérature américaine : le provocant, Portnoy et son Complexe, du romancier, Philip Roth.