Aujourd'hui unanimement salué, on lui reprocha "une peinture admirable sous le rapport du talent, mais exécrable au point de vue de la morale" (Ernest Pinard, avocat), un rapport à l'amour fait d'absences répétées (Louise Colet) et des manières trop provinciales (Edmond de Goncourt).
De s'enfermer à Croisset des mois durant avec son chien Julio, de louer un appartement bd du Temple pour y faire le pitre en pantalon chinois, et d'écrire des livres déprimants. Et puis quoi, qu'en reste-t-il ? Comment le saisir ? D'où vient ce mystère, cette fascination posthume ? Des "apparitions", sans doute, encore.
Intervenants : - Anne Herschberg Pierrot (professeur à l'université Paris VIII, responsable de l'équipe Flaubert au CNRS), - Pierre-Marc de Biasi (directeur de recherches au CNRS et spécialiste de Flaubert), - Arlette Dubois (conservatrice au musée Flaubert de Rouen), - Philippe Dufour (professeur de littérature du XIXe siècle à l'université de Tours).